Grâce à l’amical coup de pied au cul de Doréus, que je ne désespère pas de rencontrer un jour (ma porte t’est ouverte), je reprends l’histoire de mon installation en Eure et Loir.
Mon précédent billet se terminait sur un cruel teasing : j’emménageais dans ma première maison en septembre 2020, mais pas seule. Je vous imagine piaffer d’impatience et crier en cœur : QUI C’EST ???