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Sarkozy

  • Papa Sarkozy

    "Le défi de l'Afrique, c'est de s’approprier les droits de l’Homme, la démocratie, la liberté, l’égalité, la justice comme l’héritage commun de toutes les civilisations et de tous les hommes". 

    *Ajout du 21 août (extraits):

    "L'Afrique a fait se ressouvenir à tous les peuples de la terre qu'ils avaient partagé la même enfance. L'Afrique en a réveillé les joies simples, les bonheurs éphémères et ce besoin, ce besoin auquel je crois moi-même tant, ce besoin de croire plutôt que de comprendre, ce besoin de ressentir plutôt que de raisonner, ce besoin d'être en harmonie plutôt que d'être en conquête.

    Joies simples, bonheurs éphémères, ça pue le mythe du bon sauvage à plein nez !

    Comprendre, raisonner, conquérir sont des facultés inaccessibles aux Africains, sans doute ? 

    "Ceux qui jugent la culture africaine arriérée, ceux qui tiennent les Africains pour de grands enfants, tous ceux-là ont oublié que la Grèce antique qui nous a tant appris sur l'usage de la raison avait aussi ses sorciers, ses devins, ses cultes à mystères, ses sociétés secrètes, ses bois sacrés et sa mythologie qui venait du fond des âges et dans laquelle nous puisons encore, aujourd'hui, un inestimable trésor de sagesse humaine."

    Pas besoin d'aller vous balader en Grèce, Nicolas, il existe une civilisation africaine qui a été la lumière du monde, à l'époque ou la Gaule était encore peuplée de barbares. Ce pays s'appelle l'Egypte. 

    Ne vous excusez pas de votre ignorance, vous êtes encore si nombreux à situer  l'Egypte au Moyen-Orient (je n'ose soupçonner un acte délibéré).

    Ces propos sont de Nicolas Sarkozy et sont extraits d'un discours, prononcé au nom de la France, le 26 juillet dernier à Dakar.

    Je relaie le coup de gueule courroucé de Malaika. Continue, la belle, à réveiller les consciences et à faire entendre ta voix ! Il faut ques les Africains l'ouvrent plus, pour fermer la bouche de ceux qui voudraient parler en leur nom.

    J'en profite pour relayer aussi la réponse faite par un professeur de l'Université de Dakar au discours prononcé par M. Sarkozy, en juillet dernier, à Dakar.

    Les Africains ne veulent pas de votre "amitié" méprisante. Et moi, j'ai honte pour vous de prononcer ces mots au nom des Français !