Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

A Livingstone, dans le Guatemala noir

medium_i21603p58_59_697_voyage3.0.jpgJ'y suis allée en 1992 au cours d'un périple de 12 jours à travers le Guatemala, mené dans les "chicken bus" qui dévalent des ravins escarpés et se font la course (mieux qu'un grand 8 à la foire du Trône et le meilleur moyen d'y finir, sur le trône ...)
A l'exception du Nord du pays, où se trouve Tikkal, site maya de la plus haute importance mais trop excentré, j'ai visité la région magnifique du lac Atitlan et ses villages alentour, acheté de l'artisanat local au marché de Chichicastenango, admiré les belles demeures coloniales et colorées de la ville d'Antigua. A la fin du voyage, j'ai traversé la frontière jusqu'au Honduras pour visiter le site de Copan.
J'ai navigué, suivie par de facétieux dauphins, jusqu'à l'île de Livingstone où j'ai dégusté, dans un boui-boui comme ceux auxquels j'aime soumettre mon estomac aseptisé, un ragoût de poisson et bananes plantains d'où émergeaient les pattes d'un crustacé ressemblant étrangement au crabe. Je viens d'apprendre le nom de ce plat, c'était un "tapado" !

Commentaires

  • Un tapado ! pas mal.
    Joli aussi le voyage, et la photo. merci.

  • Ca donne envie de voyager tout ça.

    Ce que j'aime quand tu racontes, c'est que visiblement, tu sors des sentiers battus. En quelque sorte du voyages comme j'aimerais voyager si je pouvais voyager ! :-)

  • Tu dis vrai, je suis plutôt adepte des pays peu touristiques car rien ne me déprime plus que les accueils à l'hôtel avec groupe de danse folklorique et animations "typiques".
    Quand je voyage, c'est avant tout pour rencontrer et échanger avec les "locaux" car je suis plus sensible aux humains et aux ambiances qu'aux payasages.
    C'est peut-être cette attitude qui fait que jusqu'ici, il ne m'est rien arrivé de fâcheux.
    Si tu ne peux pas voyager, ce n'est pas grave, la richesse humaine est partout. Un "vieux"africain n'est pas si différent d'un papy français.
    Et en France, nous avons la chance d'être une terre d'immigration sur laquelle on peut se frotter aux autres cultures :)

Les commentaires sont fermés.