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Mardis de l'eau

En amont du festival de l’Oh! qui se tiendra les 24 et 25 mai prochains, les mardis de l’eau vous invitent à des conférences-débats ouvertes au public et accessibles aux malentendants grâce à une boucle magnétique et une retranscription écrite simultanée.

A l’occasion de l’Exposition internationale sur le thème de l’eau et du développement durable qui se tiendra cette année à Saragosse, en Espagne, les Mardis vous proposent de rencontrer les Témoins de l’eau.

Mardi dernier, le père José Andrés Tamayo, prix Goldman pour l’environnement 2005 est venu du Honduras pour témoigner de son combat pour l’eau. Il dirige le Mouvement Environnemental pour Olancho (MAO), coalition d’agriculteurs vivriers, de leaders communautaires et de religieux qui défendent leurs terres contre la coupe sauvage des forêts à des fins commerciales.

Le père Tamayo a évoqué la différence, du simple au double, entre la quantité de bois officiellement exportée du Honduras vers l'Europe et celle réceptionnée par les pays importateurs. Il a également rappelé les pressions et menaces de mort qui pèsent sur lui et ses partisans, les tentatives d'assassinat dont il a déjà été la cible, et ses compagnons assassinés en 2006.

Ce soir, à Joinville le Pont, "La bataille de la Loire n'est pas finie", particulièrement d'actualité après la pollution par Total dont aurait souffert le fleuve et dont parlait mon ami Oh!91.

Le programme des conférences à venir est là : %20invitation-mardis-eau.pdfinvitation-mardis-eau.pdf

Commentaires

  • On est obligés d'en boire ?

  • -> Nicolas -> oublies jamais que dans ton verre de vin, y'a 85 % d'eau. Au moins...
    -> Fiso -> merci pour ton lien, le père Tamayo mène au Honduras un combat admirable, et les batailles pour l'eau sont vraiment vitales, par tout. Dommage qu'on s'en rende plus tellement compte de par chez nous... Tiens, il a un nom bizare, ton festival, là.

  • Tiens ! j'allais poser la même question que Nicolas (on se demande bien pourquoi...).

    Oh91 : je ne crois pas qu'on ne s'en rende plus tellement compte, mais PAS ENCORE compte (ce qui n'ôte rien à la gravité du problème).

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