Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Bribes d'entretiens avec Laurent

Si j'avais des doutes sur la prise de conscience qu'ont provoqué deux entretiens avec Laurent, en début d'année, j'ai l'intuition, ce soir, que j'ai progressé un peu.

Je viens de relire ces entretiens et je retrouve un passage qui m'avait marquée. Laurent nous proposait une autre lecture d'une expression bien connue :

cellule familiale = prison

(ça calme)

 

Puis il continuait ainsi :

En Occident, les relations avec les parents sont des relations d'exclusivité. Si tu fugues, les flics te cherchent et te ramènent dans ta famille. Pour un enfant, il n'existe aucune solution comportementale. Il est soumis et n'a pas d'autre choix que de se réfugier dans l'abstrait (en se créant un égo) ou de se détruire.

Commentaires

  • et c'est pire encore dans en orient...

  • Je conçois que ce soit un peu atypique, mais dans ma famille (occidentale), ma sœur est partie de façon « négociée » du foyer un peu avant 15 ans pour aller vivre dans un squat.

  • Chouchouille,
    Certes. Laurent poursuivait par "Les sociétés où les enfants n'appartiennent à personne sont les plus pacifiques" ... affirmation avec laquelle, si on prend comme référence par exemple les sociétés africaines, je ne suis pas d'accord.
    Comme une image,
    Mais à 15 ans, on n'est plus un enfant et on s'est déjà construit un égo.

Les commentaires sont fermés.