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Picorages à Paris, Strasbourg et Avignon

J’écris peu ces dernières semaines. Ce n’est pas que l’envie ou l’inspiration me manque, mais je n’ai plus d’ordinateur portable et écrire de longs billets sur une tablette, ce n’est pas pratique.

Pourtant, comme je vais bientôt être à la diète, je profite des derniers jours qu’il me reste pour vous donner quelques adresses gourmandes, que j’ai découvertes ces derniers mois, à Strasbourg, Avignon et Paris.

J’ai fêté la Saint Nicolas à la roumaine cette année. Ma chef de projets, que j’appellerai Madeleine, m’avait invitée à l’institut culturel roumain, à 2 pas de la rue Saint Dominique. Et j’avais bien besoin de la chaleur de l’accueil roumain après les émotions vécues la veille … Alors j’ai bu quelques verres de tuika et mangé le délicieux salami. Miam !

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Le lendemain, je partais à Strasbourg, où mon ami Maurice l’alsacien, fin gourmet, m’a entraînée dans les bars de sa jeunesse. Pour moi qui n’ai jamais vécu plus de 10 ans à la même adresse, il est toujours fascinant de rencontrer quelqu’un qui connait chaque recoin de son quartier.

Momo m’a gâtée pendant mon séjour alsacien. Au petit déjeuner, du bon pain et des viennoiseries de la boulangerie « Au pain de mon grand-père », où l’on aperçoit  le mitron à l’œuvre, au fond de la pièce. Inutile de vous préciser que je suis repartie en train les bras chargés de bretzels, kouglopfs et brioches à la cannelle !

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Dans son quartier, à l’écart du centre-ville, le restaurant portugais O Porto, où à l’instar de mon Pedra Alta local, les portions sont gargantuesques. Après un porto, j’y ai mangé une salade de poulpe puis un ragoût de lard, pois chiches, carottes, chou, pieds de porc et boudin. Ajoutez à ça un digestif offert par la maison et j’étais bonne pour la sieste.

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De nombreuses haltes gastronomiques et des rencontres fort sympathiques. Et puis le jour de mon départ, nous avons retrouvé 2 amis de Maurice Au Camionneur, un restaurant – et salle de spectacles - tout proche de la gare. Une bien belle adresse, au décor oscillant entre théâtral et religieux, et une ardoise qui change chaque jour. Et mon premier déjeuner avec deux  contrôleurs de la SNCF.

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Quelques jours plus tard, à Avignon, où décidément le soleil me fuit, j’ai mangé un succulent dessert qui m’a rappelé le regretté chaud-froid au pain d’épices de Pierre Goyenetche : une brioche façon pain perdu aux coings caramélisés, chantilly châtaignes. C'était chez Lulu et c'était sublime !

Un soir, nous avons traversé le Rhône pour rejoindre des amis du couple au Moulin à Huile, à Villeneuve lès Avignon.

Après quelques achats dans la boutique attenante, nous nous sommes attablés dans l’ancienne grange du moulin. J’ai mangé une poêlée d’encornets sur petits légumes rôtis, me réservant pour le chariot de desserts dont on m’avait dit le plus grand bien. Et en effet, il valait le détour !

Prochain billet : mes dernières adresses nipponnes.

Commentaires

  • Coucou,

    Miam les kouglofs, je rêve d'en manger un authentique depuis mon retour d'Autriche (j'ai fait des tentatives de recette mais il me manque le vrai moule en fonte).
    J'ai hâte de lire la suite de tes aventures!

    PS: J'étais ravie de te voir mardi !

  • Charlotte,
    Bravo moi je n'oserais pas me lancer !
    J'étais ravie de te voir aussi ... 6 ans et l'impression de t'avoir vue la veille ... ;)

  • Ben tu repasses quand tu veux la porte est toujours ouverte

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