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Du bonheur au 20 heures ?

Je reviens sur une émission d'Arrêt sur Images (un de mes rares RDV télé) où le débat portait sur une tendance des médias - réelle ou supposée - à informer sur ce qui va mal plutôt que sur ce qui va bien. Je suis assez d'accord avec ce constat et cette sinistrose ambiante est une des raisons pour lesquelles j'évite d'écouter les infos au réveil et de regarder le journal télévisé. Je vous rassure, je m'informe autrement.

Les journalistes doivent-ils donner plus de bonnes nouvelles ? Parlent-ils trop des plans sociaux et pas assez des entreprises qui embauchent ?

J'avais été bluffée par l'intervention de David Abiker qui s'était amusé à comparer le contenu des JT de 13 heures et 20h et avait constaté que pour la même journée, les thèmes abordés étaient franchement plus réjouissants le midi que le soir.  Loin d'être dûes au hasard, ces disparités s'exliquaient par des constats purements biologiques. Je ne sais plus exactement quels étaient les termes employés mais en résumé, David nous apprenait que selon le moment de la journée, nous sommes plus sensibles et plus réceptifs à tel ou tel message. Ainsi, en milieu de journée, nous sommes en demande de douceur et d'apaisement (la digestion sans doute), et en fin de journée, nous avons besoin d'évacuer notre agressivité (après une journée de travail ?). Les médias se contenteraient donc de nous caresser dans le sens du poil. Désormais, même notre corps et nos hormones nous trahissent !

Heureusement, après la télé, le Web s'est mis au positivisme. Vous pouvez désormais prendre votre dose quotidienne de bonne humeur en lisant :

le journal des bonnes nouvelles de l'Internaute : http://www.linternaute.com/actualite/depeche/442/le_journal_des_bonnes_nouvelles.shtml

les "good news" d'Agoravox : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=4825

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