S'ila fallait encore une preuve que le mot "amour" n'est pas une utopie et que les hommes peuvent se nourrir de leurs différences, lisez le témoignage pudique et bouleversant, dont la magnificience ne peut rester dans l'anonymat d'un commentaire, de Mustapha sur le blog de mon ami Oh!91.
Commentaires
Ils sont trop longs ses comms Fiso. Serieux, on devrait etre limité kan on fait un comm sur internet. Moi ca m'a decouragé.
WajDi,
Ah la la ! Qu'est ce qu'on va faire de toi ?
Alors ça c’est très important. Rendre hommage est une tradition qui semble disparaître tandis qu’elle devrait rester un pilier de la transmission. Chez les Bédouins de la péninsule arabique, par exemple, on portait comme un devoir le fait de vanter les mérites et les qualités d’une personne qui avait fait le bien, partout où la recherche de pâture conduisait les caravanes ; peut-être l’importance même de la tradition orale renforçait-elle cette nécessité sociale.
Pourquoi perdre son temps à maudire ses ennemis alors qu’il y a tant de louanges à faire sur les gens qu’on admire ?
Je n’en démordrai pas, la bonté reste à mes yeux la plus belle et la plus grande des vertus humaines. Le reste n’est qu’esbroufe. Loin d’être une utopie, elle trouve son fondement et sa raison dans les gestes les plus humbles du quotidien : offrir un sourire en saluant, préparer du café pour son collègue de travail le matin, partager ses connaissances, ses découvertes jour après jour, chercher une bonne nouvelle dans l’actualité et en parler autour de soi plutôt que de focaliser sur les évènements les plus sombres, plaisanter, provoquer quelques rires, parler sans honte des ses échecs comme de ses victoires pour rappeler notre fragilité et susciter le dialogue, juste tâcher de transmettre une parcelle de bonne humeur à chaque fois qu’on le peut… Ce sont des petites choses, des presque riens mais d’une importance essentielle, sauf que comme ils paraissent minuscules on a parfois tendance à les négliger. De l’utopie, des théories, du blabla… ? Non, des gestes simples, un peu comme les coquillages avec lesquels le facteur Cheval a bâti son palais.
http://www.facteurcheval.com/
A part redire les mots surfaits, "magnifique, superbe cet hommage" je ne vois pas comment exprimer le plaisir que j'ai eu à lire le com de Mustapha dans ce qu'il a d'émouvant et sincère par rapport à sa relation avec son ami. C'est beau, heureusement des amitiés comme celle ci il y en a beaucoup. Merci de montrer aussi les bons côtés de la vie même si cela se termine mal.
Alex,
J'ai lu ton com avec le regard d'un enfant.
Merci de dire avec autant de force et de conviction qu'on peut aussi s'émerveiller des belles choses de la vie, des belles rencontres, qu'au négatif s'oppose toujours le positif.
Ca me fait du bien, ce soir ou je ressens de la colère, tes mots.
Une belle personne , à lire l'hommage qui lui est rendu on aurait aimé le connaitre , partager des conversations , l'écouter ...Il y a vraiment des gens exceptionnels
C'est vrai
Vic,
Des gens exceptionnels qu'on croise tous les jours, sans le savoir ...
Tonnégrande,
T'es de retour, grand pachyderme ?
Fiso,
Oui.
Et, tu remarqueras, avec une égale pertinence et un à-propos judicieux, n'en déplaise aux facheux et envieux!
Toutefois, s'il est vrai que le qualificatif de pachyderme me semble acceptable voire conforme à certains aspects de ma personnalité, aurais-tu l'obligeance de préciser ta pensée ?
Au fait, il faut que l'on se rencontre pour un truc... Tu m'adresses un mail ?
Nicolas est au courant mais on ne dira rien à Mère mi qui, après deux vins de messe ne tient plus sa langue et raconte tout à ses copines du presbytère.
Tonnégrande,
Oui j'ai remarqué, je me suis demandé si c'était du lard ou du cochon ;)
POur ce qui est du pachyderme, ce qualificatif affectueux voulait mettre en lumière ta sagesse et ta bonhomie naturelle, cela va de soi !
Fiso,
Sans vouloir être désobligeant,
question cochon: voir Loîc
question lard: voir mon pote
question pachyderme, tu me rassure; j'ai craint un moment devoir apaiser, les bouffées délirantes et fantasmatiques de chaleur émanant de tes copines blogueuses qui, selon Nicolas, sont ménopausées ou en voie de l'être.
Personnellement, je n'ai aucun nom, contrairement à Nicolas, qui est à l'heure où je vous parle, est en Bretagne.
Où je l'ignore et je me garderais bien de toute supposition ou déduction.