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environnement

  • Droit de réponse d'un salarié d'une multinationale de l'eau

    Suite à mon billet sur "Water makes money", j'ai reçu par mail le témoignage d'un salarié d'une des multinationales incriminées dans le film. Avec son autorisation, je reproduis ici son commnentaire.

    La seule chose que je sais AVEC CERTITUDE, c'est que le retour en régie n'est pas LA solution DANS L'ABSOLU. Je peux faire le même film sur les abérations des régies à travers le monde.

    La vérité est dans la coexistence des deux.

    Pour le film et ta question, les aberrations ont eu lieu il n'y a pas si longtemps (20 ans). Parer la sphère publique de toutes les vertus est avoir la mémoire courte : il n'est pas si loin le temps des emplois fictifs et des marchés truqués...

    Actuellement en France il y a de gros mensonges de la sphère publique sur les chiffres : dans les Landes, Emmanuelli fait travailler des employés du budget général sur les Sce de l'O et de l'A, dans le Vaucluse, les syndicat retournés à la régie truquent leurs chiffres techniques publics pour se parer de vertus de bons gestionnaires, mais un bon pro peu rapidement trouver sur internet (site des Agences de Bassins) des chiffres différents et moins glorieux pour eux.

    De plus on ne peut ignorer l'importance des groupes sur "le savoir faire" Français en la matière. Même le "héros" du film a été formé par 30 ans chez Véolia !!! Et être très impliqué dans les facs est plutot un compliment, alors que cela est reproché au film !!

    Laisser l'opération du service au public est une TRES dangereuse chose car cela revient à créer une situation de juge et partie EVIDENTE. La dérive est potentielle et malheureusement l'histoire l'a prouvé, probable...

    Certes aujourd'hui, en France, on a atteint une gouvernance et une technicité qui permet à des régies de bien travailler, surtout qu'elles sont avides de s'opposer à "GRENOBLE". Je le reconnais. Mais de là a en faire un modèle...

  • Covoiturage

    Voilà un projet qui va m’intéresser ! Mettre en place une solution de co-voiturage dans mon entreprise. Ce matin, sur mon vélo, en observant le nombre de voitures avec 1 seul passager à bord et les auto-stoppeurs sur le bord de la route, je me faisais la réflexion qu’il y avait urgence.

    Parmi les avantages du co-voiturage en entreprise, outre la démarche de développement durable qui est l’un des chevaux de bataille de notre président, le partage des frais d’essence qui constitue une économie non négligeable, cela devrait permettre à nos 700 salariés de mieux se connaître.

    En effet, une des remarques qui revient le plus souvent depuis notre déménagement, c’est qu’on pensait que le regroupement de tout le monde sur le même site favoriserait les échanges, or l’immensité du siège et l’absence d’évènements fédérateurs a provoqué l’inverse.

    Mon boss m’a demandé de chercher des infos sur le covoiturage. Je vais voir comment mettre en place une base de données commune à toutes les sociétés du groupe. J’ai aussi trouvé un progiciel intégrable à notre intranet, 7ème sens, et une interview d’Aziz Senni, qui a créé ATA France, une entreprise de transport de personnes, inspirée du "covoiturage" ou du "taxi collectif". « Plus rapide qu’un bus et moins cher qu’un taxi », le tarif de la course est fixé à l’avance.

    Des solutions alternatives existent. Il faut juste forcer un peu notre individualisme. Et vous, est-ce que votre entreprise a cette démarche ? L’avez-vous déjà utilisé à des fins personnelles ?