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Jour 1 : Photo langage autour de la communication

Cette semaine, j'ai utilisé mon DIF pour suivre une formation de 3 jours sur la communication : identifier son mode de communication et celui de ses interlocuteurs, passer du réactionnel au relationnel, gérer efficacement ses réunions, autant d'informations et d'outils indispensables à mon métier de formatrice.

[Parenthèse : Je suis toujours perplexe de constater à quel point le DIF (Droit Individuel à la Formation) est méconnu et surtout rarement utilisé par les salariés dont les sources d'insatisfaction sont pourtant souvent le manque de formation interne par leur employeur. En 4 ans et demi dans ma société, je suis la seule formatrice à en avoir demandé un.]

Le jour J, j'entre dans un établissement aux allures de lycée : le CESI, à Nanterre, est une école d'ingénieurs et organisme de formation. Dans une salle au premier étage, je rencontre ma formatrice, une pulpeuse et dynamique brune et fais connaissance avec mes camarades : 3 cadres de la Poste et un employé - encadrant aussi - de la mairie de Paris. Deux des cadres de la poste suivent un parcours diplômant de manager de proximité et le troisième est là dans le cadre du DIF, comme moi, tout sauf que lui arrive tout droit de l'île de la Réunion.

La journée commence par une présentation croisée en utilisant le principe du portrait chinois : 

Si j'étais un animal / un plat / un instrument de musique, je serais ... parce que ...

Cette entrée en matière permet une habile transition vers les réflexes de synchronisation et les difficultés de communication. A la question de notre animatrice : "Si vous vouliez changer quelque chose chez vous, qu'est ce que ce serait?", la tendance naturelle à y répondre de façon négative "Je voudrais être moins ..." au lieu de "Je voudrais être plus ..." et aussi les pertes d'informations entre ce que j'entends, ce que je comprends, ce que je retiens et comment je le restitue.

Après la pause, nous avons fait un premier exercice sur le photo langage. La formatrice avait disposé des photos sur les tables et nous devions chacun en choisir 3 qui représentent, selon nous, la communication, et expliquer pourquoi. Ensuite, nous avons eu une mission collective : retenir chacun une photo, construire ensemble une vision des essentiels de la communication, avec un titre et des mots-clés, et la présenter. A ce stade, je suis moyennement emballée par le challenge. Nos photos sont si différentes que je me demande bien comment nous allons réussir à donner une cohésion à nos choix. Après quelques minutes de "bouillie", le jeune réunionnais nous donne l'impulsion nécessaire et tout s'enchaîne. Ça donne à peu près ça (à peu près car je n'ai pas retrouvé exactement les mêmes photos) avec le titre que nous avons choisi et ce que chaque photo m'a évoqué :


Diversité

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Une situation de départ où l'on a des personnalités et sensibilités différentes, qui peuvent être en harmonie et créer de la beauté, comme sur la photo. Ou pas.


Objectif

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Un but commun, un effort individuel et collectif aux motivations différentes : pour certains, le dépassement de soi, la compétition, la réussite, pour d'autres le plaisir, le partage. Et puis ceux qui persévèrent et réussissent, ceux qui sé découragent, ceux qui encouragent, ceux qui sont spectateurs, ceux qui ravitaillent. Les sponsors, les coureurs, les bénévoles, les amis : autant d'acteurs aux rôles et motivations différents.
Le viaduc de Millau, quel plus belle métaphore de la communication que ce pont construit pour relier deux points, véritable prouesse technique ?

Effort

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Toute la difficulté de la communication : passer d'une rive à l'autre sans tomber à l'eau. Trouver des points d'appui, se rendre compte parfois qu'ils peuvent être glissants ou se dérober, utiliser les énergies (l'eau), qui peuvent être rassurantes et apaisantes (lac) ou destructrices et dangereuses (torrent, chutes d'eau).


Diffusion

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Communiquer, c'est bien, encore faut-il être entendu et compris. L'émetteur est tout aussi important que le récepteur, et les moyens mis en oeuvre pour transmettre l'information. Et se souvenir que l'intention compte moins que le résultat.



Résultat

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La fierté d'avoir atteint l'objectif, ensemble. La confiance qu'il faut avoir envers ses coéquipiers pour y parvenir. La beauté de la communication quand elle devient communion.

Peu emballée au départ, j'ai pour ma part été très fière du résultat de notre travail, et de l'enthousiasme de chacun alors que nous ne nous connaissions que depuis 2 heures. Et finalement, avec l'émulation du groupe, chaque image m'a inspirée alors qu'au départ, je ne voyais pas trop le rapport de certaines avec la communication. Le résultat est une belle aventure humaine. Ce qui m'a frappée aussi, et que j'ai fait remarquer aux autres, c'est le fait que trois photos sont en rapport avec l'air, prennent de la hauteur, et deux font référence à la terre, avec les arbres et le contact du sol. A ce stade, je n'avais pas réalisé que mon choix donnait déjà des indices sur ma personnalité et mon mode de communication, notamment à ma formatrice.

Et vous, quelle image parmi celles ci-dessus auriez-vous choisie pour représenter la communication ? Pourquoi ? Quelle est celle qui vous parle le moins ?
Et d'après vous, quelle est celle que j'ai choisie lors de l'exercice ?

Commentaires

  • Travail très intéressant. Je conçois que ce soit particulièrement déconcertant au début.
    Je trouve que le résultat de votre concertation et de votre réflexion est tout à fait cohérente, harmonieuse et présente une vision complète et précise de ce qu’est la communication.

    Ma photo préférée et celle que j’aurai choisi pour parler de ma vision de la communication est la rivière et le petit pont de pierre. La communication est semée d’embuches, elle peut être dangereuse. Ce n’est pas toujours facile de bien communiquer mais quand on y arrive on découvre un monde merveilleux ! Sur cette photo la difficulté de traverser le pont est réelle et peut être périlleuse mais en même temps on a envie d’y aller tant on se dit que l’autre rive doit ouvrir sur des paysages et des perspectives extraordinaires.

    J’ai moins été attirée par la première photo. La légende me parle, mais ce n’est pas celle qui représente le mieux la communication à mon avis : elle ne montre pas suffisamment la complexité de communiquer.

    Je pense que tu as choisi la photo du viaduc de Millau. Je trouve qu’elle te ressemble bien. Tout y est : la volonté d’être ensemble, mais pas forcément en compétition avec les autres. C’est une image puissante qui retranscrit des valeurs très fortes de partage, respect. Pour ceux qui ont déjà couru des marathons, semi-marathons ou d’autres courses cette image est vraiment parlante. Dans toutes les courses auxquelles j’ai participé, j’ai retrouvé ces valeurs et l’impact que peut avoir la communication verbale (encouragements) et surtout non verbale (sourires, tapes sur l’épaule, bénévoles qui donnent des verres d’eau) sur la motivation et le dépassement de soi. Cette photo représente bien à mon avis ces valeurs qui te sont très proches également. On y retrouve ton envie de partager avec les autres tout en restant toi-même, ton envie de te dépasser mais toujours en respectant les autres. Je pense que ton mode de communication va toujours dans ce sens. Et puis sur cette photo on y retrouve le sport et la beauté du lieu, des sujets auxquels tu es très sensible.

  • Allez je me lance fuck the judgement : le satellite.

    En astronomie, un satellite naturel (du latin satelles, satellitis : escorte, garde) est un corps en orbite autour d'un corps plus massif. Par métaphore, je suis la partie d'un tout, je monte la garde, je protège le groupe mais sans son pouvoir d'attraction, je tombe.
    En astronautique, on appelle satellite artificiel un objet d'origine humaine mis en orbite autour de la Terre (...) les satellites de télécommunications...Par métaphore, je reçois et je transmets de l'information. Je relie.
    En mécanique, un satellite est une roue d'engrenage. Par métaphore, je fais partie d'un tout. Sans le tout je ne sers à rien mais le tout sans moi ne fonctionne pas.
    En équipement musical, un satellite désigne un haut-parleur destiné à produire du son dans une grande partie de la gamme de fréquence. Par métaphore, j'amplifie et je porte la voie de ceux qui n'osent pas, qui n'entendent pas.

    La photo qui ne me parle pas : le viaduc, chacun court pour soi. Personne n'aide l'autre intentionnellement. Un phénomène d'entraînement peut exister mais il n'y a pas expression d'une solidarité globale, si ce n'est celle fournie par un pote qui court avec soi. Le flot est dans un sens unique, et gare à celui qui voudrait aller à contre-courant. Il en mourrait ! Le viaduc est pour moi ceux qui hurlent avec les loups, sans personnalité, sans expression d'individualité mais de l'individualisme, oui.

    Votre choix : les parachutistes !

    Ouf, pas facile comme note mais intéressante. Alors, j'ai gagné ?

  • ah le dif ... enfin bref tu sais, je venais voir comme convenu mais bigre ca peut prendre un peu de temps que je n'ai toujours pas aujourd'hui tu sais pourquoi, donc je m'y colle le plus vite possible bichette !

  • Senga,
    Au-delà du plaisir de sentir à quel point tu t'es investie dans ton commentaire, sur un atelier qui m'a émerveillée par son résultat (n'ayons pas peur des mots), j'ai été tout simplement bluffée par la beauté de ta contribution.
    "La difficulté de traverser le pont est réelle et peut être périlleuse mais en même temps on a envie d’y aller tant on se dit que l’autre rive doit ouvrir sur des paysages et des perspectives extraordinaires", tu me crois si je te dis que j'ai été super émue par cette phrase ?
    J'ajouterai une nuance. On réussit toujours à communiquer, parce qu'on le fait, consciemment ou pas. En revanche, on n'arrive pas toujours à communiquer en respectant ce qu'on est et ce qu'est l'autre, dans une démarche gagnant-gagnant. Ça, c'est difficile. Alors, si on y arrive, c'est gratifiant, certes, mais ne pas réussir à le faire devrait également être vécu comme une source d'enseignement, au moins sur soi-même, et pas comme un échec donc on devrait s'accabler.
    Je t'ai répondu en privé sur la justesse ou pas de ton choix me concernant, pour entretenir le suspense avant de livrer ma réponse et de la développer.
    Je reconnais la coureuse dans ton analyse de la photo du viaduc de Millau et aussi la manager que tu as été et seras sûrement encore, tant tu as à cœur d'aller vers le mieux. Je reconnais aussi celle avec laquelle j'ai travaillé et qui es une amie aujourd'hui, une collègue reconnue et aimée de tous, unanimement, parce que humble et exemplaire.
    Je pense d'autant plus à toi que je suis en train de boire mon café sur la voix rocailleuse de Josh Ritter ;) A bientôt ma belle.
    Mamz'elle Gigi,
    Fichtre ! Je suis gâtée, mes copines jouent le jeu et pas à moitié ! Quel exposé tu nous as fait, toi aussi !
    Je t'ai également répondu en privé sur mon choix, pour les raisons exposées dans ma réponse à Senga. J'espère encore que d'autres se prennent au jeu (Zoum', qu'est-ce-que tu branles, me dis pas que tu bosses un 1er mai ?)
    Je fais écho à ta contribution fort appliquée et argumentée.
    Le satellite de la photo est artificiel et construit par l'homme.
    Ce corps étranger dans un milieu naturel n'est pas la communication mais un relais, un intermédiaire. Or on sait que les relais d'une information ont leurs propres filtres et ne transmettent pas 100% de l'information, et surtout pas mot pour mot.
    D'un point de vue physique, ces satellites sont des objets qu'on a positionné dans l'espace mais qu'on ne contrôle pas vraiment, la preuve : http://www.liberation.fr/sciences/2013/01/03/danger-chutes-de-satellites_871486
    Du coup, ceux qui se les prennent sur la tronche sont et seront les victimes collatérales de la communication. T'as rien demandé, t'es même pas au courant du sujet et bam ! Écrabouillé !
    (ptain que cet atelier de photo langage est passionnant !)
    Ensuite, force est de constater que cette communication virtuelle, censée faciliter la communication entre tous, n'a pas que des avantages. D'abord parce que contrairement à ce qu'on pourrait croire, tout le monde n'en profite pas (les états dictateurs bloquent l'accès de leurs peuples à l'information vers et en provenance du reste du monde). Et aussi, les satellites peuvent se révéler de merveilleux mouchards.
    Enfin, je m'en suis souvent plainte et continue de le faire : trop de communication tue la communication. Aujourd'hui, on sent de plus en plus envahis et oppressés par les centaines de mails et appels, dans le milieu pro par exemple, qui a force de vouloir toucher le plus grand nombre sont inefficaces et non lus ou compris.
    "Tu amplifies et portes la voix de ceux qui n'osent pas" : tous ceux qui n'osent pas ou ceux qu'on choisit de relayer ?
    Passons maintenant au viaduc. Je ne suis absolument pas d'accord avec toi. Et je vais être - un tout petit peu - provocatrice : que dire alors des gens qui font du sport en salle ? Ça pour moi c'est le summum de l'individualisme.
    Et pour l'avoir pratiqué un temps, contrainte et forcée parce que j'avais des horaires décalés dans un pays battu par la pluie, voilà bien un endroit peuplé majoritairement d'une majorité de gens qui s'admirent dans les miroirs, se jaugent, les yeux rivés sur de stupides écrans diffusant des clips à la con. Quid de la solidarité et de l'entraide dans ces cages à hamsters ?
    Les courses comme celles de la photo peuvent et sont souvent des courses solidaires, qui reversent une grande partie des fonds à des causes humanitaires. Je me souviens avec beaucoup de bonheur de ma course à Barcelone, il y a un an. J'avais hésité à y participer parce que seule, justement. Et prise dans le flot, j'ai couru et parcouru la belle ville de Barcelone, encouragée via mon téléphone par une amie restée à paris qui m'envoyait des sms. Et dans la foule, il y avait de tout : des nationalités différentes, des jeunes, des vieux, des poussettes, des sportifs, des poussifs. Je ne me suis pas sentie seule un seul instant, et j'ai ri et plaisanté avec beaucoup. Et proche de la ligne d'arrivée, j'ai remercié en silence ceux qui m'encourageaient, sans me connaître, sur le bas-côté, juste venus pour apporter leur chaleur à des inconnus.
    Plus récemment, j'ai tenté de rejoindre une copine qui courait le marathon de Paris. Je l'ai ratée, à quelques minutes près, mais je suis restée sur les quais de Seine, prises par la bonne humeur générale, et j'ai encouragé et applaudi des groupes, et répondu aux 2 américaines qui faisaient la course pour visiter Paris et me demandaient ce qu'était le bâtiment qui surplombait la Seine (la Conciergerie).
    Quand à celui qui voudrait courir à contre-courant, il n'en mourrait pas, il ferait surtout tomber ceux qui, déjà harassés par l'effort, n'auraient plus assez de force pour l'éviter.
    Après avoir pendant des années dédaigné les courses collectives que j'associais à une expression bête de la compétition, j'ai changé d'avis depuis que j'y ai pris part. Je les aime parce qu'elles ne laissent pas la place à la triche : suants, puants, dégoulinants, rougeoyants, on est tous moches dans l'effort.
    Ces courses satisfont le besoin d'indépendance et de liberté que j'ai, tout en me permettant de faire partie d'une force collective. De celles qui déplacent les montagnes et font se rencontrer les hommes.
    Boug',
    Ok. Mais je ne vais pas te lâcher ;)

  • Votre réponse, par une audacieuse association d'idées, me fait penser à une formation faite il y a des années et qui s'intitule fort justement "Exposer pour convaincre". Pourquoi ? Simplement parce que lors de ce stage, le formateur nous a fait faire à nous autres participants un exercice fort intéressant qui consistait à choisir un sujet polémique, définir à part soi son opinion sur le sujet puis, lors d'un débat ouvert affirmer exactement le point de vue contraire en le défendant comme son propre point de vue, face à l'autre qui faisait le même exercice de défendre la position contraire à son point de vue... Et bien, en vous lisant je me disais que je pourrais à mon tour reprendre chacun des points que vous évoquez et les défendre jusqu'à la mort sans pour autant y croire ! Ah, la dialectique...

  • Mamz'elle Gigi,
    La dialectique, c'est fantastique !

  • Houlà ok, je m'exécute! :-)
    Pas évidente hein ta question. Moi j'aime bien l'harmonie (première photo), même si certaines contraintes demandent plus de pragmatisme dans la réalité (boulot, relations clients par exemple) où là forcément c'est le satellite qui prend le dessus. Mais dans l'absolu, donc, j'aime justement ce moment particulier où une harmonie se crée.
    Ainsi, à titre d'exemple, j'ai rencontré comme ça, à trop peu de reprises, une chouette fille avec qui j'ai bu quelques bières, et avec laquelle je dirais bien que l'harmonie s'est vite installée.
    Ton choix? Identique au mien, bien que je te verrais bien tentée par le passage d'une rive à l'autre, ...pas facile.
    Les autres photos sont représentatives de situations intéressantes, mais me font forcément trop penser à du team building.
    Bon, ben on va voir si je me suis royalement planté...ou pas :-)

  • A tous,
    J'ai choisi la dernière photo, les parachutistes. L'élément air qui souffle sur mon signe astral ET son ascendant y est peut être pour quelque chose, comme mon amour des avions.
    J'ai choisi cette photo parce que la communication, pour moi, doit être synonyme de liberté. Liberté de dire, de se tromper, de se taire aussi.
    Communiquer, c'est oser, se mettre en danger, c'est aussi difficile que de se balancer dans le vide. D'ailleurs ne dit-on pas "Allez, je me lance" ?
    Je l'ai choisie aussi parce qu'on ne peut pas communiquer seul, on n'est rien sans les autres, alors cette ronde humaine me parle. Et si l'autre vous lâche, vous vous cassez la gueule.
    Enfin, la photo est belle, avec la tâche bleue sur terre, et elle me fait rêver. Après le parapente quand j'avais la vingtaine, je rêve d'un saut en parachute.
    Le choix de cette photo est surtout dû, je pense, aux difficultés traversées dans mon ancienne entreprise, ces derniers mois, et à ceux et celles qui m'ont tendu et tenu la main, et qui ne l'ont pas lâchée.
    En décembre, j'aurais sans doute choisi la rivière et son pont de pierres, tant je me sentais en terrain ennemi. Mais le découragement, même s'il est parfois violent, ne dure jamais bien longtemps chez moi; je suis une incorrigible optimiste.
    La photo qui me parle le moins ? Le satellite, artificiel et métallique, trop froid, trop loin du terrain. Spectateur, intermédiaire,, il ne prend pas de risques.Et puis la communication via satellite, j'en suis revenue, justement parce qu'elle peut brouiller la communication.
    Mon deuxième choix aurait été les coureurs sur le viaduc de Millau, pour toutes les raisons que tu as évoquées, Senga qui me connaît si bien. Mais je me sens trop à l'étroit sur ce pont, et je pourrais me sentir oppressée par la foule. J'ai besoin d'espace.
    Merci à Senga, Gi et Zoum' d'avoir joué le jeu, j'ai beaucoup aimé vous lire.

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