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  • Toute l'eau du ciel sur Bruxelles

    Des trombes d’eau se déversent sur les pavés de la Grand’Place quand j’y débouche, cherchant mes amis. Mon béret « so chic » et le léger manteau de mamie Coco sont trempés en moins de deux. Eux sont déjà là, serrés l’un contre l’autre et hilares, sous un porche. « Fait beau dans votre contrée ! », je lance.

    Sous une pluie battante, Mlle Cigue conduit jusqu’à Ixelles. Le tunnel que nous empruntons passe sous le parc du Cinquantenaire aux imposantes arcades. En descendant de voiture, Filaplomb met le pied dans une flaque.

    « On t’emmène dans un resto qu’on aime bien. Ca s’appelle l’Apocalypse ».

    Tout à fait de circonstance. D’humeur bucolique, Monsieur Poireau croque une fleur. Si, c’est vrai, j’ai une photo, tiens :

    Photo220[1].jpg

    « Paraît que c’est votre anniversaire ? » demande le serveur.

    Prenant la confiance, comme dirait l’autre, j’essaie de négocier un strip-tease mais il fuit lâchement. Petit joueur.

    PS : Une belle soirée, au chaud. Merci encore à Monsieur Poireau, Filaplomb et la ravissante mlle Cigue.

  • Plus frais, y'a pas !

    Mon pote T. et moi, on a enfin rattrapé notre soirée foirée de l'autre jour. Ce soir, après le boulot, duo chez Toritcho.

    Ca a bien commencé avec mon habituel menu D, jugez-en plutôt (trop mignons les tempura, on dirait un bouquet de fleurs):

    Photo194[1].jpg
    Puis j'ai vu passer sous mes yeux des plateaux de bois avec un coquillage dessus.
    "C'est quoi, Isao ?" ai-je demandé à l'expert dans l'art de trancher le poisson en douceur. "Akagai" a-t-il répondu.
    Mmmm ! Les sushis de vernis, ce joli coquillage rouge-orangé, dont je suis friande depuis mon voyage express au pays du Soleil Levant.
    "Tu m'en mets 2?"
    Mon pote T. me regarde, amusé, en dégustant ses brochettes.
    Peu après, Isao me passe mon plateau où 2 sushis brillants m'attendent.
    Je les admire quelques instants et quelque chose d'inhabituel attire mon attention.
    Je soulève le plateau à hauteur de mes yeux et tape mon pote du coude "Hé regarde, je rêve ou bien ?"
    J'avoue, j'ai hésité quelques instants mais celui-là a fini comme les autres, dans mon estomac.
    T. s'est marré mais j'en connais quelques-uns devant lesquels je ne mangerai plus d'akagai.
    Je vous laisse faire vos déductions grâce au petit film souvenir que j'ai réalisé :