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Voyages - Page 5

  • Istanbul - Jour 1

    medium_TN_blue_20mosque.jpgDépart mercredi 13 au soir sur Corendon Airlines vers 21h30, atterrissage à Istanbul vers 2h00 du matin.

    Après une attente interminable à la douane, nous négocions un transfert en bus vers le quartier de Sultanahmet où nous arrivons après un passage par le quartier de Taksim et sur le pont du Bosphore . Là, après une heure à tourner dans les rues à la recherche de notre hotel, le Turkmen, oùn ous nous écroulons vers 5 heures du matin, juste après l'appel à la prière du muezzin . Le lendemain (la nuıt a été courte, seulement 4 heures de sommeil), nous découvrons que l'hotel est à 2 rues de la mosquée Bleue et de Sainte-Sophie. Nous commençons par la visite de Sainte-Sophie, où nous découvrons avec amusement le portrait de l'ımpératrice Zoe et de son dernier époux. Celle-ci, mariée 3 fois, fit modifier à chaque nouvelle union la mosaïque représentant son époux.

    Nous approchons la mosquée Bleue mais c'est l'heure de la prière, donc visite interdite. Les fidèles se lavent les pieds sur le côté de la mosquée. L'après-midi, nous prenons le tram jusqu'à Emınonu, nous traversons à pied le pont de Galata, ou les pêcheurs se succèdent, et nous montons en haut de la tour de Galata d'où la vue est superbe sur Istanbul, le Bosphore, frontière naturelle entre Europe et Asie, et la mer de Marmara. Le soir, nous dégustons du poisson frais dans la belle cour pavée du restaurant Sabahattın, où les chats du coin nous font les yeux doux.

  • Quelle destination vous fait rêver ?

    Mon esprit s'évade et rêve de contrées plus chaudes à la lecture de blogs en direct de  Nouvelle-Calédonie, République Démocratique du Congo 

    Le pays de mes rêves, c''est la Nouvelle-Calédonie où je suis née mais dont je n'ai aucun souvenir.
    Sur le continent africain, la Tanzanie et surtout l'île aux épices, Zanzibar.
    La Jordanie, le Vietnam, le Sri Lanka, la Nouvelle-Zélande, la Colombie.

    Prochains voyages prévus : la Turquie en juillet et peut-être le Mexique cet hiver ...

    Allez, faîtes-moi voyager et dîtes-moi  : quel est le pays de VOS rêves ?

  • Los Roques

    Vu il y a quelques jours sur Thalassa un reportage sur cet archipel de 50 îlots, à 300 km au large des côtes du Venezuela.
    J'y ai passé quelques jours en 2004, avec mon frère.
    La compagnie Aerotuy(prononcez Aerotouille) dessert Los Roques au départ de Caracas.


    Après avoir franchi la montagne Avila qui borde la mer, on survole 30 minutes les eaux turquoise de la mer des Caraïbes et on atterrit sur la piste de Gran Roque, l'île principale, dépourvue d’automobiles, où l’on trouve les posadas (auberges).
    Comme des glandus, nous n'avions pas été foutus d'acheter des maillots de bain avant de décoller de Paris, ni même à Caracas; notre première mission après l'atterrissage fut donc de trouver des maillots de bain avant d'embarquer sur notre catamaran.

    Nous entrons dans la seule boutique de l'île. Et là, en découvrant, d'abord incrédule puis franchement paniquée, les cache-tétons et triangles minuscules tenant plus du string que de la culotte, je réalise que :

    1) les Vénézuéliennes ont de petits seins, contrairement à moi.

    2) Elles aiment montrer leurs fesses, qu'elles ont généreuses. Ça nous fait au moins un point commun. Je vais donc devoir apprendre à montrer les miennes.

    J'ai le choix entre les ficelles (au Vénez, le string se dit hilo dental, soit fil dentaire, c'est drôle, non ?) ou nager habillée. Faut quand même pas déconner. Je me résous  à tenter d’empaqueter mes formes généreuses dans un enchevêtrement de ficelles et me console : je bénéficierai d’un bronzage maximal …

    En montant à bord du catamaran, petit moment de solitude. Je me sens aussi nue qu’un ver.


    A proximité de l'île de Francisqui, notre catamaran a largué les amarres et nous avons endossé masques, palmes et tubas pour une partie de snorkeling dans ces eaux cristallines.

    Notre guide Patricia, alias "mi amor", nous montra des tortues, barracudas et autres poissons tropicaux dont je n'ai pas compris le nom (pas facile de converser avec un tuba dans la bouche).
    Estebandido crut même apercevoir une baleine blanche mais ce n’était que moi, ce qui nous valut des photos classées secret défense et un fou-rire sous-marin au cours duquel nous avalâmes quelques tasses d'eau de mer.


    Le soir, nous nous sommes baladés sur la plage de Gran Roque où les pélicans s'en donnent à cœur joie et dans les rues calmes et colorées du village où nous avons bu quelques Pilar Ice avec Andrea, une jeune zurichoise nous avons revu à Paris depuis et Kim, une canadienne de Vancouver (d'origine irlandaise, sont partout ces irish !).
    Le lendemain, journée farniente autour de l'île de Crasqui, avant de reprendre notre coucou direction Caracas.


    Le reportage Thalassa m'a appris que Los Roques avait été qualifié de paradis sur terre par Christophe Colomb et classé parc national en 1974.
    Les fonds marins de l'archipel regorgent de langoustes que les habitants de  Margarita, une autre île, viennent pêcher pendant les 6 mois autorisés dans l'année.
    Les Margaritenos obtiennent la majorité des permis de pêche délirés ce qui entraînent une grande jalousie des Roquenos et quelques tensions.
    60000 touristes débarquent chaque année sur Gran Roque, dont 90 % d'italiens. Ce sont d'ailleurs eux qui tiennent la majorité des posadas.
    Nous n'avons pas vu beaucoup d'italiens, encore moins de français mais plutôt des américains lors de ce court séjour.
    J'ai bien aimé Los Roques mais j'ai largement préféré l'ambiance festive de Choroni, un autre village de pêcheurs qui fera l'objet d'un prochain article.
    Aux paysages idylliques, je préfère du bruit, des couleurs et des odeurs.