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  • J'adore le jeudi !

    Peut-être parce que c'est ce jour là que j'ai ouvert les yeux sur le monde ? Le jeudi, c'est déjà le week-end, plus qu'un jour à travailler !

    Ce matin, le soleil a innondé ma cuisine alors que je buvais mon café. Dans l'ascenseur, j'ai croisé un de mes gentils voisins avec sa fille qui partait à l'école, cartable sur le dos. Alors que je traversais ma ville, j'ai savouré le ciel bleu, le soleil et le froid qui me cinglait les joues. Tout le long de la route, je n'ai rencontré que des feux verts et fait rarissime, j'ai même réussi à attraper au vert celui du bas de la côte de Vanves (bon ... à l'orange mais j'étais lancée).   J'ai bien été un peu ralentie en arrivant à Corentin Celton mais au feu rouge, la voix d' un chanteur flamenco ou tzigane (jaillie d'une voiture ou d'une fenêtre, je ne sais pas) m'a réchauffé le coeur et les oreilles.

    Vraiment, j'aime le jeudi !

  • Rencontre avec Franck

    Il va d'ailleurs falloir que je me calme ou que je prévois désormais un budget "rencarts" parce que ça coûte les petits verres à droite à gauche ! Si je n'étais pas une jeune femme désintéressée et indépendante, je pourrais bien faire comme ces filles qui s'inscrivent sur des sites de rencontres rien que pour se faire des restos gratuits ! Il paraît qu'elles sont nombreuses, c'est ce que me confirmait mon premier RDV qui les élimine direct (ouf, j'ai au moins passé ce filtre là). Je trouve incroyable qu'il y ait encore des femmes qui considèrent les hommes comme des cartes bleues. Bref, hier soir, j'avais rendez-vous près de chez moi avec un jeune homme qui travaille dans les ressources humaines. Rien à voir avec mon beau corse ténébreux, celui-là était ... comment dirais-je ... inoffensif. Déjà, ça commence mal, sa fiche annonçait 1m80 et il fait facilement 10 centimètres de moins. Un peu kéké, chemise ouverte laissant apparaître quelques poils, mèches blondes. Sympa, moins superficiel qu'il n'y paraît mais j'ai trouvé qu'il parlait un peu trop beaucoup de lui. Adepte des soirées mousse du Club Med ...

    J'ai bu un daiquiri framboise plein de flotte et fadasse (au passage, déprimant après ceux que j'ai pu goûter à la Barbade). Bref, une rencontre sympathique, sans plus. En tout cas, ce qui me rassure, c'est que pour l'instant je tombe sur des garçons sains et corrects.

    Ah au fait, RDV ce soir à Pte de Versailles avec un profil atypique, bouddhiste passionné de cinéma (fait des court-métrages ... pas pornos j'ai vérifié). Il paraît que c'est normal au début de faire une boulimie de rencarts et que ça se calme au bout d'un mois, à raison d'un rendez-vous par semaine.

    Mais quand est-ce qu'il me recontacte mon Corse ?????

  • Lectures coquines

    "Le bonheur" de Denis Robert

    Récit torride d'une liaison entre une femme soumise et consentante et un homme décidé à ne reculer devant aucun fantasme. Roman libertin recto-verso : sur la page de droite le point de vue de la femme, sur celle de gauche celui de l'homme, entre les deux toutes les positions possibles.

    "Les caprices du sexe" de Louise Dormienne

    Les Caprices du sexe ont été publiés clandestinement à Paris vers 1928, en pleines "Années folles". Unanimement, les spécialistes considèrent que ce roman érotique féminin dépasse en puissance, en crudité et en audace, tous ceux qui ont été écrits par des femmes. Composé de trois parties : " S'offrir - Se vendre - Aimer " dont les titres parlent d'eux-mêmes, Les Caprices du sexe présentent tous les aspects de la vie sexuelle mouvementée d'une jeune femme libre, et certes non conformiste mais par ailleurs parfaitement " normale ".

    "Entre ses mains" de Marthe Blau***

    Elodie a 30 ans. Elle est avocat. Bien élevée. Elle aime son fils, son mari, Paris. Ses amies sont gaies et jolies. Comme elle. Un jour, dans une cour d'assise, le regard d'un homme l'émeut. Cette rencontre bouleverse sa vie. L'homme exerce sur elle une emprise irrésistible et diabolique. Envoûtante.

    Elodie découvre la faim de la chair, la puissance des mots, le pouvoir de l'esprit dans une relation qui la meurtrit et la ravie. Elle ne pense plus qu'à Lui. A ce qu'Il lui fait. A ce qu'Il lui demande . Elle l'attend. Elle se remémore sa peau, sa voix, ses mots. Choisis et brûlants, comme un coup de cravache.

    "Reflet d'une vie" de Katel Brandilly***

    L'histoire d'une jeune femme Lucie âgée de 24 ans et éperdument amoureuse d'Emmanuelle. Mais tout bascule le jour où Emmanuelle la quitte sans explications. Lucie est malheureuse, n'arrive pas à se libérer de son amour pour Emmanuelle, et tombe peu à peu dans une dépression de plus en plus profonde. Elle ne s'alimente quasiment plus, se laisse mourir. Seule Flore, la co-locataire et meilleure amie de Lucie, tente par tous les moyens de l'aider, mais la force d'une amie est parfois insuffisante face aux blessures trop profondes. Dans un dernier espoir, Flore fait interner Lucie dans une clinique spécialisée. Le mal-être est omniprésent, la peur, les angoisses, puis arrive le moment des entretiens avec les psychologues, des examens médicaux... et ce résultat qui annonce l'inexorable fin... et qui explique aussi le départ précipité d'Emmanuelle. Ce roman poignant est une histoire de destins, un histoire d'amitié pour le meilleur et pour le pire, une page de vérité.