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  • La basse dans ta face

    Le week-end dernier, un jeune homme fait irruption dans la maison du bonheur, au milieu de notre brunch entre filles. Le frère de M., que je n'avais jusqu'ici vu qu'en photo.

    Très à l'aise, il s'installe sur un pouf et se lance dans des considérations pseudo-philosophiques sur les relations hommes-femmes. Ses propos m'interrogent, me font rire, parfois jaune, grincer des dents.
    Et il lance cette phrase :
    Les femmes se demandent où sont passés les hommes biens, elles oublient juste qu'elles les ont rangés dans la catégorie "Amis".

  • Week-end à thème : les fesses à l'air

    J'ai pourtant réalisé ce rêve, chanté par Dutronc, il y a quelques années !

    Ce week-end chez Gi a été très riche en émotions. Certaines que je tairai, par pudeur, d'autres que je me fais une joie de partager. Les malheurs de Fiso, ça faisait longtemps, non ? Ben vous allez être servis, les amis !

    Samedi, on rentre de courses, Gi et moi. J'ai dévalisé la Migros en fondue Moit-Moit. C'est que je connais quelques adeptes de fromage ...

    Lorsque l'ascenseur s'ouvre, au rez de chaussée, une femme élégante l'occupe, avec son chariot Ikéa. "Je vous le renvoie" dit-elle.
    - C'est ma voisine, commente Gi lorsque la porte se referme. Elle est charmante mais elle a 2 chiens absolument insupportables qui t'aboient dessus furieusement, ils sont très agressifs, je ne suis pas rassurée quand je les croise."
    Nous montons dans l'ascenseur tout en nous épanchant sur notre peu d'amour pour les chiens, sales et bêtes (ça c'est de moi).

    Sur son palier, la porte de l'appartement de la voisine est grande ouverte. Un chien apparaît, un colley miniaturisé genre Lassie. "Tiens, quand on parle du loup ..." je lâche.
    Il nous accompagne tranquillement jusqu'à la porte. Et puis, alors que Gi s'apprête à enclencher la clé dans la serrure, nous entendons une course effrénée et des aboiements furieux dans notre dos. Pas le temps de dire ouf, un des chiens me saute dessus. Leur maîtresse accourt, leur hurle dessus.

    C'est alors que passant la main sur mon cul, je sens ma peau. J'ai une jolie déchirure à angle droit, bien nette. Cet enfoiré a craqué mon futal ! Et à travers le tissu, le sang perle. Non seulement le sale cabot m'a niqué mon fut' mais en plus il m'a niaqué la fesse !

    La voisine se répand en excuses, promet de me rembourser le pantalon que je vais devoir acheter. Gi m'applique une compresse badigeonnée de désinfectant sur la fesse. J'ai échappé à l'ablation, mais de justesse. "Ça nous apprendra à avoir dit du mal d'eux" concluons-nous.

    Quelques heures plus tard, dans un hamam, ce constat se répète. Alors que Gi me raconte, en chuchotant, cette fois où une bonne femme les a engueulées, elle et M., et dénoncé à la direction, nous nous faisons pourrir par une mégère qui a le culot de nous sortir que "se shampouiner ça fait du bruit". Et de deux.

    Le lendemain soir, un homme vient me chercher chez Gi. Lorsque je monte dans la confortable BM, j'entend "Crac !". Je glousse et me cache le visage dans les mains "Oh p'tain ! J'y crois pas à ce qu'il m'arrive !!! C'est pas vrai, mais j'ai la poisse ce week-end !!!
    Il se marre "Quoi ? T'as craqué ton pantalon ?"
    Bingo. Et pas qu'un peu. J'ai littéralement le cul à l'air. Je m'extirpe de la voiture après avoir noué mon blouson autour de ma taille et me change fissa.

    Résultat des courses : partie avec deux pantalons et une robe, je suis rentrée avec ... une robe.

  • Sur les starting blocks

    Après une pause de 4 mois (qui n’est pas passée inaperçue), j’ai repris la course, et pas qu’un peu. Ces 2 dernières semaines ont été très sportives. Jugez plutôt :

    - 4 matches de foot en 2 semaines (dans les bars espagnols, c'est tout de suite plus facile)

    - 4 séances de jogging la première semaine et 2 la seconde : à Paris, à Lleida, à Barcelone (les 11 kms de la carrera El Corte Inglès) et à Genève !

    Ca y est, c’est parti, plus rien ne m’arrête …

  • Mon vocabulaire espagnols s'améliore de jour en jour

    J’ai encore enrichi mon vocabulaire espagnol. J'ai appris une expression très rigolote pour dire « Tu deviens chauve » : Se te ve el carton (on te voit le carton).

    Je sais aussi comment dire sodomie et partouze (merci les moustiques partouzeurs des bords de la Segre qui ont initié ce type de conversation), et aussi quelques insultes.

    Et fidèle à moi-même, j’ai dit, bien sûr, quelques conneries. Comme par exemple « Tenia que dormir con tampones (au lieu de tapones) en las orejas » (j’ai dû dormir avec des tampons - au lieu de bouchons - dans les oreilles). Cesc et Kique se sont bidonnés pendant un quart d'heure.

  • News d'Espagne

    Tout va bien. J'entame ma deuxième semaine à Lleida, une petite ville à 150 kms de Barcelone, accompagnée de Kique et Cesc, les 2 joyeux lurons avec lesquels je me suis mis une mine au Patxaran, en janvier dernier.

    Je précise à ceux qui auraient des doutes : je suis en Espagne pour le travail, car j'ai reçu hier un sms de Oh!91 qui me demandait si j'étais toujours en vacances, ce à quoi j'ai répondu "Ça commence à devenir un tout petit peu vexant qu'à chaque fois que je travaille hors de France, on me croit en vacances !"

    Nan mais c'est vrai ! Meeeeerde, quoi ! Former en espagnol équivaut à 2 journées en une !