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  • Quand mes muses m'amusent (1)

    M.T., sexe aussi souvent que possible masculin :

    « La meuf, quand je la nique chez elle, elle est calme, quand je la nique chez moi, elle gueule ! Un truc de malade, on aurait dit qu’on égorgeait un cochon ! … Je viens d’emménager dans l’immeuble, elle m'a foutu la honte ! Et quand je lui mets la main sur la bouche pour qu’elle se taise, elle gueule encore plus fort ! D’après toi, elle fait exprès de se lâcher chez moi ? »

    M.V, sexe parfois organique, parfois électronique féminin :

    « Un soir, une envie me prend. J’allume le truc, plus de piles. Pas grave, je prends la télécommande … plus de piles ! P’tainnnnnnnnnnnn ! J’ai essayé toutes les télécommandes, la radio, j’étais comme une folle, du coup  … T’aurais vu ça, j’ai retourné toute la maison pour trouver des putain de piles pour le faire marcher, mon vibro !  

    « Et t’en as trouvé ? »

    « Non »

    « Mets-toi aux piles rechargeables, ma biche »

    M.J.M, sexe pas souvent mais quand ça arrive, qu'est ce qu'il prend ! masculin :

    « Y’a un truc qui me GONFLE vraiment. Moi pour manger à ma faim, je dois faire tout un tas de manoeuvres. T’es pas la seule à me raconter ce genre de trucs, hein. … Moi je rêve qu’une femme me dise « Coucou, je suis là, croque-moi » !!

    P’tain, merde quoi ! Les mecs, ils ont des meufs qui s’offrent sur un plateau, qui leur demandent rien, juste de leur faire leur fête, et ils font les fines bouches ! Ils esquivent « mouais, je sais pas, peut-être… » Alors ça, ça m’tape sur le système !

    Je me dis « je suis le seul de la bande à être normal, ou quoi ??? »

     

     

  • A la flotte !

    affiche_visuel_nubd_jpg_16616.jpgEt voici venue l'heure du rendez-vous avec le festival préféré de nos 2 Val-de-Marnais émérites, Nicolas et Tonnegrande,  : le festival de l'Oh !

    " Avec l’été, le festival de l’Oh ! revient enchanter nos berges et nos cours d’eau. Rendez-vous le long de la Seine et de la Marne, les 27 et 28 juin prochains." (ce week-end, quoi ...)

    Cette année, les couleurs et les rythmes de l’Afrique feront vibrer les escales. Le fleuve Niger en est l’invité d’honneur. La région qu’il traverse, exsangue, en proie à des dérèglements climatiques sans précédent et à des problèmes d’accès à l’eau, est pourtant riche d’une grande effervescence artistique. C’est la vitalité de cette culture africaine qui fera vibrer les escales. Cette invitation sera aussi l’occasion de découvrir la Communauté urbaine de Zinder, au Niger, qui entretient des relations de coopération avec le Département du Val-de-Marne, et les dizaines d’associations qui, riches des cultures africaines dont sont porteurs nombre de nos concitoyens, se sont mobilisées.

    Recentré cette année sur dix escales en Val-de-Marne, une à Paris et quatre en Seine-Saint-Denis, le festival de l’Oh ! a trouvé les moyens d’embellir encore malgré les mesures d’économie qu’il nous a fallu prendre pour tenir compte du désengagement de l’état et de la crise économique.

    Que vous soyez Val-de-marnais, Franciliens, ou que vous veniez de plus loin profiter de cette fête unique qui fait notre fierté, inaugurez l’été au bord de l’eau, dans la beauté, la découverte et le débat."

    Le programme, c'est ici

  • Les Franciliens aboient, la caravane passe

    Mon chauffeur avait un accent charmant. Il disait « jé suis vénu ».

    Quand je lui ai indiqué ma destination, il a haussé les sourcils : « Le périphérique sud est fermé, l’A6 aussi, tout est bloqué ». Je m’étonne : « Ah bon, qu’est ce qui se passe ? » «  Et oui, maintenant quand un officiel arrive en France, ils bloquent tout. Avec les autres présidents, les gyrophares suffisaient mais pas avec celui-là ».

    Je râle : « On se croirait revenus au temps de la royauté (que je n'ai pas connu, certes). Les nobles passent, les gueux doivent s’effacer. C’est quand même incroyable ce mépris du peuple. Paralyser tout Paris aux heures de pointe pour que les grands de ce monde circulent tranquille ! Comme si les gens n’avaient que ça à foutre de passer des heures dans leur voiture pour rentrer chez eux après le boulot ! »

    On a eu le temps de discuter, vu les bouchons. Ce fut un vrai périple pour rentrer chez moi mais j’ai surtout pensé aux copains qui eux, doivent rejoindre la grande banlieue.

    Sur radio Bleue, on donnait, en boucle, l’état catastrophique du traffic. « Ecoutez-bien, vous verrez, ils se contentent de dire que c’est bouché mais ils ne donnent pas la raison du bloquage. C’était encore pire l’autre jour avec Khadafi. C’est régulièrement comme ça, maintenant, un vrai bordel », fait remarquer mon chauffeur.

    Et ce matin, on apprenait que M. Sarkozy avait reçu, hier après-midi, M. Netanyaou …. 

  • Autour de ZORG

    Hier soir, au 1er étage du Chao Ba, découvert grâce à Orpheus et avec Lancelot, puis arrosé avec Sélène, Violaine et Chambre 419 (d’ailleurs, c’est quand la prochaine ?), 6 blogueurs trinquent au plaisir d’être ensemble. Et aussi à Bougrenette, à l’absence omniprésente.   

    On m’avait confié une mission délicate. Préférence de ZORG : un endroit « où on peut grignoter debout et s’il y a de la musique c’est encore mieux », requête du Papillon aux ailes pailletées de rouge : « vers le 8ème ou Clichy ». Dans notre groupe de blogueurs, j’étais la seule à avoir un blog à prédominance culinaire. La plupart se rencontraient pour la première fois et 2 d’entre eux ne connaissaient aucun de nous : Deftones75, le petit nouveau de la blogosphère (qui m'imaginait grande et sèche, ahum) et Caliste, que j’avais croisé ici et là mais jamais lu.

    On n’a pas grignoté debout et il n’y eut pas de musique ; j’avais pourtant une furieuse envie de danser. Que dire ? J’ai beaucoup ri, entre Deftones75 et VéroPapillon qui pense à se reconvertir en blog animalier. Des histoires de hérisson, de jogging sans soutif et de poitrine de veau, et des paillettes qui voyagent des chaussures aux joues sans qu’on comprenne bien comment (j’ai bien ma p’tite idée, moi….)

    Comme PrincessOnLine arborait une peau parfaitement hâlée, on a parlé d’autres voyages, aussi, le Maghreb, l’Asie, l’Europe du nord, la Suisse (tiens ?).

    Plus tard, autour d’un repas servi par un jeune homme attentionné (quand le service est bon, je le dis aussi, malheureusement je dois tenir secret le nom du restaurant car c’est le QG de P.O.L.), les conversations se firent à peine plus sérieuses.

    A ce que je sais, nous étions plusieurs, ce matin, à être encore sur un petit nuage. Le virtuel n'est savoureux que s'il rend possible le réel.

    Si Boug’ avait été là, on aurait eu un super montage photos avec des regards, des chaussures et des décolletés, velus ou non. Pour ma part, je crois que je vais organiser plus souvent ce genre de soirée.

  • Looking for Eric

    LOOKING FOR eRIC.jpgC'était il y a déjà 2 semaines mais j'ai été tellement emballée par ce dernier film de Ken Loach qu'il fallait que je vous invite à le découvrir, si ce n'est déjà fait.

    Je suis piètre critique cinématographique. Moyennement enthousiaste au départ car si j'aime Ken Loach, le football me laisse indifférente. Pourtant, je me suis passionnée pour cette émouvante histoire d'un postier anglais, fan d'Eric Cantona. Le genre de mec qu'on qualifierait de "looser". Entre drame et absurde, chaque apparition de "l'ange" Cantona est délicieusement drôle.

    On rit franchement et beaucoup. Quelques séquences des meilleurs moments de Cantona sur le terrain et je me suis fait avoir : j'avais envie d'applaudir !

    La scène finale est magnifique. Là encore, je résiste difficilement à l'envie d'exprimer ma joie.

    Ken Loach, une fois de plus, fait la part belle aux classes populaires et célèbre l'amitié, la solidarité et la sincérité.