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Pensée du jour - Page 2

  • Marbre à l'âme

    Quand je t’ai vu débouler sur notre plateau et t’installer en face de moi, j’ai cru que j’allais faire une attaque cardiaque. Je ne suis déjà pas connue pour être lymphatique mais là je suis clairement devenue agitée. Comment allais-je passer 7 heures avec toi à portée de mains ?

    [Blink, blink à ma copine « Petits cailloux »  qui m’a fait pleurer de rire hier quand, suspendue à mes lèvres, elle a sorti « Tu aurais dû lui dire : en missionnaire ça ne va pas être possible chéri, passes derrière ! ». Hors contexte, c’est moins drôle mais notre ¼ d’heure de fou-rire a réussi à perturber le patron de Toritcho qui, hilare au-dessus de ses sushis, a demandé « Qu’est ce qui est si drôle ? »]

    Après avoir repris ma respiration, l’atmosphère s’est chargée d’électricité. J’ai eu l’impression que tu étais nerveux aussi. Tu gigotais sur ton siège, comme moi, et nous nous sommes raclés la gorge à tour de rôle pendant une heure, c’était drôle. Habituellement très déconneuse, je n’ai pas sorti un son de toute la matinée. Et surtout je n’ai rien branlé de la journée, incapable de me concentrer. J’ai béni le ciel que mon inséparable pote ait eu la bonne idée d’être malade ce jour-là. A notre habitude, il aurait balancé des conneries, m’aurait charriée. Ton irruption dans notre périmètre  et mon mutisme obstiné aurait sans nul doute éveillé la curiosité de ce garçon très observateur.

    J’ai envoyé un sms à la jolie A., seule à être dans la confidence : « Oh putain, je ne vais pas réussir à bosser aujourd’hui, il y a BQ qui est venu s’installer en face de moi !! ».

    Je n’allais pas louper une si belle occasion de t’observer, à la dérobée. J’ai détaillé la chemise rose qui moulait ton torse musclé, tes mains libres de tout anneau, les fins bracelets de tissu autour de ton poignet gauche. J’ai remarqué que ta bouteille d’eau portait la marque Dia ; c’est donc là que j’irai désormais faire mes courses, en espérant t’y croiser (vu que ça fait 10 ans que nous habitons le même quartier, et que je ne t’y ai jamais vu, c’est mal barré). Parfois ton regard croisait le mien et s’y attardait juste assez longtemps pour que mon trouble augmente. Je n’avais jamais été assez proche pour remarquer à quel point tu avais de magnifiques yeux noisette.

    Toute la matinée j’ai eu chaud, froid, soif, envie de pisser … Je ne tenais pas en place et me levais souvent pour me rafraîchir les idées à défaut du reste. A un moment, j’ai remis ma veste, tu m’as regardée, as froncé les sourcils et chuchoté « Ça va ? ». Ton attention m’a littéralement fait fondre. J’ai failli t’envoyer un message « Arrête de me regarder avec ce regard caressant, malheureux innocent, je vais te sauter dessus ! »

    J’ai envoyé un sms à mon frère. J’avais besoin de partager mes émotions. « Respiration ventrale pour maitriser ses émotions» a-t-il répondu, pragmatique. « Si je fais de la respiration ventrale, j’explose les boutons de mon fut’, dans le genre femme fatale, on fait mieux ». « Lol, reste naturelle » a-t-il conclu. Naturelle, j’étais loin de l’être …

    Au retour du déjeuner, tu as lancé un « Tu es bien silencieuse … » J’ai osé un culotté « Moi ? Toujours ! » (Mon cul, oui !). « Ah bon, je ne savais pas » as-tu répondu avant de disparaitre en réunion et de me laisser reprendre mes esprits.

    Le lendemain matin, tu avais repris ta place et on a passé 1 heure à se titiller sur la messagerie instantanée (quelle belle invention, discrète, silencieuse, tout !) Je peux me tromper mais il y a des signes qui ne trompent pas. Reste à savoir comment on va réussir à passer le cap des échanges virtuels.  

  • Déjà vendredi ?

    Lundi, à l'heure du déjeuner, j'économise un ticket resto et claque 120 euros : coup de foudre pour une paire d'escarpins "Noir miroir". Visiblement, ça fait mal aux n'yeux, comme dirait ma petite soeur et je m'aveugle toute seule. Le soir, j'envoie un message à l'homme de marbre, sans réponse à ce jour.

    Mardi soir, après un verre en terrrasse du Habemus, une adresse à retenir où les serveuses sont joviales, nous nous attablons Au Mesturet. Elle retient un haut le coeur en me voyant décortiquer ma tête de veau. Y'a un seul truc qui nous sépare : elle n'aime pas la viande, ma copine de Carême (facile, pour elle !). Le service y est toujours aussi charmant, c'est une constante, et nos voisins de table, aussi. Un peu grise ou grisée, je chope le serveur, au vol "Vous, je vous sens bien". Il est médusé et je me gausse. Sur le retour, rue de Richelieu, je claque une bise à Kamel qui nous offre un shot vodka-cerise griotte et je me couche avec le noyau en travers de la gorge.

    Mercredi soir, j'annule la soirée moules chez moi, officiellement parce que j'ai quitté le boulot trop tard, officieusement parce qu'en pénurie de chaussures, je file chercher mon bonheur chez Mi-Prix. Et là, le choc, un véritable drame pour toutes les amoureuses des escarpins, talons et bottes stylées : Mi-Prix a fermé !!! Je piétine, incrédule, devant la boutique vide où j'ai acheté, depuis 20 ans, tant de chaussures et chapeaux. Je n'en suis toujours pas remise.
    Vers 20 heures je rejoins, dans ma tenue de canari des années 50 (je me comprends) et mes escarpins noir miroir, 2 quadras sexys en terrasse du Physalis. Ma mémoire me fait défaut et je me demande si j'ai déjà fait un billet sur le Physalis, que je fréquente depuis des années. Je fouillerai les archives et corrigerai cette injustice, le cas échéant.

    Le lendemain matin, lever 5h30, taxi à 5h45, train à 6h19, arrivée 9h21 dans l'odeur des pins et sous le soleil d'Aix. Le soir, je jette mon ordi et file dans les rues étroites du centre d'Aix, jusqu'à la bruyante place Ramus où j'attend Oh! et sa mère, en terrasse de Hue cocotte ! "Excellent choix, je m'y suis déjà régalé" avait répondu mon ami parisien quand je lui avais communiqué le lieu du rendez-vous. Si à Paris, c'est déjà l'automne, Aix a des parfums de juin. Les filles sont en short dos-nu et la nuit douce. Après une cocotte au cabillaud, un dessert patate douce-chocolat et une incursion dans la tarte aux figues d'Arlette, je m'endors, calée dans mes oreillers, devant Les nuits pourpres.

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    Ce matin, corde à sauter et baskets restent dans mon sac de voyage (le principal, c'est de se laisser des portes ouvertes, non?). Je convaincs mon collègue de petit-déjeuner aux Gourmandises Aixoises, recommandée par ma pétillante taxiwoman de la semaine dernière. Le midi, on y retourne et on commande la même chose : une cuisse de canard lentilles suivie d'une verrine de mousse de coco à la mangue. Trois abeilles (ou guêpes) me tournent autour pendant tout le repas et bouche bée (ça vaut mieux), j'assiste soudain à un remake de "Minuscule", que je regarde souvent avec ma nièce adorée : une abeille se pose sur mon plat et repart en zigzaguant, lestée d'une lentille qu'elle tient entre ses pattes ! Nan mais sérieux, où va-t-on ??? J'aurais voulu filmer la voleuse pour montrer à la petite J. que Minuscule, ça existe en vrai !
    (Bon, vous savez bien que je suis restée une grande gamine ..)

    Ce soir, pas de pot, mon collègue m'avait promis une bière sauf que nous sommes dans deux rames différentes et incommunicantes (est-ce que ça se dit ? tant pis, je tente).
    Je me retrouve à côté d'un papa au regard ravageur, aux biceps bronzés, absolument craquant avec son bébé blond dans les bras. J'ai envie de dire au papa, qui est bien trop jeune pour moi mais que je coincerais bien entre 2 wagons "Arrêtes de me sourire comme ça, je ne suis qu'une pauvre petite chose fragile et y'a ta meuf en face". Elle, orteils vernis de rouge, plongé dans son ordinateur, ne lève pas les yeux de tout le trajet (l'inconsciente !), lui embrasse son fils et le couve amoureusement du regard.
    Le bébé s'appelle Arthur et il lance des cris stridents pour que je le regarde, et je le regarde en souriant bêtement. Je me connais, je suis en train de basculer dans le gagatage aigu, alors je déménage près de la fenêtre et loin de son putain de sex symbol de père. Arthur me scrute tout penaud (comment ça je projette?), genre "Ben, tu me laisses ?" alors je lui fais coucou, et son père me sourit (arrêtes, toi !) et je me revois il y a quelques années, dans mon tailleur vert à boutons dorés, quand du fond de l'avion, je faisais des grimaces aux bébés dans le dos de leurs parents.  

    A la descente du train, après que je me sois sifflé une Grim' toute seule au bar (c'est le weekend, merde !), ils sont tous les 3 là, sur le quai et le papa se tourne vers moi "Vous avez pensé à votre sac ? Il y avait un sac, en haut". J'ai envie de répondre "Tu peux arrêter d'être irrésisitible ?" mais je le remercie, oui, oui, j'ai bien mon ordinateur, me penche sur le bébé endormi et monte dans le tramway où je chante. Mon voisin me regarde, je sais qu'il pense que je ne m'entends pas chanter du Absynthe Minded et que j'aurais grave honte si je savais. Ca me fait rire.

  • L'homme de marbre

    Au départ je ne t'aimais pas, comme tous les hommes que j'ai passionément aimés. Et puis, à la faveur d'une réunion, j'ai découvert un homme réservé mais bien plus sympathique que ne le laissait supposer ton visage fermé.

    J'ai cru sentir que l'intérêt était partagé. Les occasions de communiquer étaient rares mais les regards appuyés. Un soir, tu as proposé de me déposer et sur la route, je t'ai fait rire. Quelque chose chez toi me donne des élans de tendresse mais tu m'impressionnes tellement que tu me paralyses.

    Tu es parti en vacances, moi aussi. Je guettais ton retour pour te lancer "Hey ! Tu es là ! Alors, racontes !"

    Heureusement, j'ai su et je n'ai pas fait ce qui aurait été une gaffe magistrale. Et lorsque tu as surgi au bureau, je n'ai même pas pu te regarder. J'ai fui ton regard pendant plusieurs heures. Je n'aime pas les formules de condoléances, je les trouve tellement creuses. Quand j'ai enfin osé te saluer, d'un pudique mouvement de tête, tu avais l'air tellement malheureux que j'ai eu envie de te prendre dans mes bras.

    Tu ne sais pas que je sais mais voilà, je sais. Ne voulant pas être intrusive, encore moins remuer le couteua dans la plaie, j'avais décidé de faire comme si je ne savais pas mais c'est impossible. Je devrais alors jouer la légèreté et ce serait tellement indécent, presque cruel.

    T'imaginer à quelques rues de moi, peut-être solitaire, toi aussi, et enfermé dans ton malheur,, ça me fend le coeur. Je voudrais t'envoyer un message, te dire "Si tu as besoin d'un sourire, d'une présence, d'un café, je suis là". Tout simplement. Je pense à toi.

  • Le menu de l'année

    Ce blog prend un nouveau tournant, comme moi. Fini ou presque les photos de bouffe et les balades dans Paris (enfin, ça c'est la faute de la pluie). Je vais continuer mes réflexions sur la communication et le management des RH, de façon générale, puisque visiblement cela vous intéresse aussi.

    Et je vais - un peu - parler business, figurez-vous. Je découvre un nouveau domaine qui était loin de m'emballer, à priori, mais mon PDG à l'incroyable charisme a réussi à me filer le virus. En moins de 2, en plus. Et je croise des personnalités hors normes depuis 2 mois. Alors, je vais partager mes découvertes, prudemment, comme d'habitude.

    Et puis, pour ceux qui me lisent depuis plus de 5 ans, j'ai un scoop : Fiso remonte sur son vélo. Je vais donc enrichir la rubrique "En mode vénère" de mes jérémiades à propos d'automobilistes haineux, de vélibistes écervelés, de routes défoncées et de seins malmenés mais fort heureusement bien accrochés.

    Et enfin, dans quelques mois, je vais ressortir ma petite valise verte pour des voyages dans des contrées exotiques et parfois barbares. J'aurai sûrement ma dose de galères et d'expériences inédites. Ca va être fun, 2013 !

  • Festival de l'Oh 2013

    festival de l'oh,conseil général du val de marneJe m'attend aux vannes habituelles, étant donné que le festival de l'Oh est souvent arrosé (de pluie), ce dont je me désole. Même pas parce que la pluie, ça mouille, mais parce qu'un de mes amis se donne corps et âme pour que chaque année soit un succès et que celui-ci dépend moins de la qualité de sa programmation, qui est toujours au rendez-vous, mais de la météo. Depuis quelques années, nos saisons qui sont "cul par-dessus tête" impactent fortement sa fréquentation.

    Pour ma part, ce weekend, je reçois une invitée de marque et je me consacrerai entièrement à elle. C'est bien le moins que je doive à la belle Suissesse chez laquelle j'ai passé tant de moments gourmands et douillets.  Pourtant, j'ai bon espoir de pouvoir lui fausser compagnie quelques heures, demain après-midi, lorsqu'elle se mettra en route pour une longue séance de shopping parisien. Je ne rate jamais le festival car en dehors du fait que j'y retrouve des amis, c'est toujours l'occasion de découvrir des artistes et d'ouvrir grands mes yeux et mes oreilles, dans une ambiance festive et populaire, où s'amusent petits et grands enfants. L'année prochaine, j'espère bien le faire découvrir au soleil de ma vie, vous savez la petite fille qui m'appelle Tata Choufi ...

    Comme chaque année, j'ai reçu, il y a quelques jours, le mail d'un "infiltré" qui livre, à son cercle proche, sa petite sélection personnelle. Et comme vous me savez partageuse, je vous le livre quasi tel quel (je garde les bisous pour moi, non mais !).

    La programmation de cette 13ème édition est dédiée au Danube. On y accueille ainsi 98 artistes de 13 compagnies et 8 pays appartenant à son bassin.

    Pour tout connaître, il y a toujours le site Internet du festival (http://festival-oh.cg94.fr/). Mais pour te faciliter la tâche, j'ai sélectionné quelques suggestions à ton intention...

    Si tu es limité(e) dans tes déplacements, c’est à dire si tu n'utilises que les transports en commun, je te recommande évidemment l’escale de Paris (Quai de Bercy, face à la BNF).

    On y a deux beaux projets :

    Escale de Paris

    • Le premier est autrichien, c’est de la danse contemporaine. Willi Dorner et sa compagnie développent leur proposition « Fitting » selon deux modalités : en déambulation, au départ du Métro Quai de la Gare (samedi à 17h30, dimanche à 13h30), ou sur le site de l’escale, Quai de Bercy (samedi à 18h15, dimanche à 14h15)
    • Le second est un spectacle du Collectif Bonheur Intérieur brut, Montagne, qui s’interroge sur les mécanismes de la peur et du courage. Un très beau moment, qui a été sélectionné par le réseau Déambulation pour être diffusé sur de nombreux festivals cette année. Le festival de l'Oh! lui ouvre son bal. C'est escale de Paris, Quai de Bercy, samedi à 15h, dimanche à 17h.

    Tant que tu es à l’escale de Paris, tu pourras aussi assister aux représentations des spectacles du Carnaval de l’Oh! (tu sais, ce sont des spectacles de 30 minutes, installés sur des péniches , et qui se donnent en représentation dans  les escales selon le fil de leur itinérance).

    A Paris, tu auras la chance de voir MAI, (Cie Point Zéro), c’est de la danse contemporaine et du hip-hop (samedi à 17h), La nef des sorcières (Cies Quartet Buccal et Hip Tap Projet), c’est du chant et de la percussion corporelle (samedi à 19h), Concept Lavoir (Cie Massala), encore de la danse urbaine (dimanche à 16h30), ou encore Sonnettes de brume (Cie Zic Zazou), c’est de la musique jouée sur des instruments fabriqués avec des matériaux de bricolage (dimanche à 18h30).

    Il y aura aussi une conférence par l’une grande connaisseuse des cultures tziganes et de la communauté Rom, Claire Auzias, le dimanche à 15h. C'est plus politique, mais ça en vaut la peine pour dépasser les clichés et la stigmatisation...

    En prenant le temps, tu pourras t'organiser pour prendre une navette jusqu’à Maisons-Alfort, où il y a une escale assez bucolique sur l’île du Moulin brûlé. Tu y verras notamment une exposition de photographies monumentales du Hongrois Gabor Kasza, « Y ». Ca vaut vraiment le détour. Mais attention, la traversée est assez longue car il y a une écluse à franchir et, sauf si tu y es tôt, il peut y avoir une file d’attente…

    Escale de Vitry

    Si tu peux te déplacer en voiture, ou si le RER ne t'effraie pas, il y a, à Vitry-sur-Seine, près du Pont du Port à l’Anglais, une programmation assez affriolante, le samedi soir et le dimanche matin notamment. Perso, c'est mon choix...

    Samedi, c’est l’occasion de grouper plein de choses qui s’annoncent à la fois variées et de qualité. En le prenant à partir de 16h30 (mais avant, il se passe déjà des choses intéressantes) :

    • 16h30 : De la musique classique, avec un ensemble baroque hongrois et roumain, Donau Taraf
    • 17h30 : un des spectacles du Carnaval de l’Oh!, la Nef des sorcières (Cies Quartet Buccal et Hip Tap Projet), c’est du chant et de la percussion corporelle
    • 18h : une Fanfare d’inspiration Tzigane, en déambulation (Cie Dromaludaire – ça, c’est la Ville qui organise, je ne me porte pas garant…)
    • 18h45 : encore un spectacle sur péniche, 32 Amp. En 380 V., du cirque contemporain
    • Et puis surtout en soirée, dès 20h, le Concert du Boban / Marko Markivic Orchestra, la fanfare serbe qui s’est illustrée dans la BO d’Underground, d’Emir Kusturica. Ca devrait être assez endiablé !

    Dimanche,

    • les choses commenceront plus tôt le matin, avec à 10h30 une visite de l’exposition « Danube », commentée par les photographes
    • A 11h, le concert baroque hongrois et roumain du Donau Taraf
    • A 12h, une autre fanfare serbe pétillante, la Slobodan Salijevic Band
    • A 13h30, le Carnaval de l’Oh! avec encore Sonnettes de brume (Cie Zic Zazou), musique sur instruments en matériaux de bricolage (soit dit en passant, ce sont les derniers lauréats de l’émission de Nagy et Jean-François Zygel, la Grande Battle, avec un extrait de Carmen joué dans des cornes de brume en PVC)

    Escale de Bonneuil

    Si tu es audacieux(se), et qu’il te prend de t'aventurer jusqu’à la darse du port de Bonneuil, on y acceuille une installation plastique de la compagnie ukrainienne Barred, Le temps du vent, qui devrait être très chouette dans l’environnement semi-naturel et semi-industriel du Port. Une image forte en perspective !

     Je te laisse découvrir ici le reste de la programmation de Bonneuil.

    Escale d’Orly 

    Il y a autrement des moments assez chouettes prévus autour de la communauté Rom, notamment à l’escale d’Orly avec le cirque Romanes.

    Je sais déjà que certain(e)s vont aller y faire un tour. Vous viendrez nous raconter ?