C’était un des points fort de mon master : pas de stage mais un séminaire international d’une semaine. Comme certains ne parlaient pas du tout anglais, le directeur du master a proposé Montréal. Une découverte pour moi qui ne connaît du Canada que Vancouver et Toronto.
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Montréal, une première !
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Ma voisine d'en face
Ça fait 15 ans maintenant que je vis dans le même appartement. Un record pour l’être sans racines que je suis.
J’aime ma ville, mon quartier, ma rue, véritable écrin de verdure où les oiseaux chantent, et même mon appartement sombre et mal isolé, que je me suis approprié au fil des ans.
Dans mon immeuble, les gens sont assez sympas.
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Licenciééééééée, délivréééééée !
Hé oui, ami(e) lecteur (-trice) : après 3 ans de souffrance, je serai libérée, dans un peu plus d’un mois, d’une de mes plus désagréables expériences professionnelles !
Si j’ai déjà connu le licenciement (une fois) pour motif économique, la nouveauté cette fois-ci, c’est que je suis virée pour « insuffisance professionnelle ». Et que je suis ravie de cet épilogue – provisoire - du bras de fer que j’ai entamé il y a un peu plus de 2 ans avec ma N+2.
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Comment obtenir le financement de votre formation par le FONGECIF
Quand je me suis lancée dans un projet de Congé Individuel de Formation (CIF) pour suivre un master, j’ai tout entendu (et lu).
Que " Si on ne faisait pas sa demande de financement en tout début d’année, le budget du FONGECIF était consommé (premier arrivé, premier servi). Que « Tous les gens que je connais qui ont fait une demande de financement au FONGECIF recevait un refus » etc.
Sur internet, ce n’était pas plus optimiste. Et surtout, en dehors du site du FONGECIF, j'ai trouvé peu de conseils et de retours d’expérience.
Avec tout ça, en plus du fait que je ne répondais pas aux critères de priorité de financement communiqués par le FONGECIF, j'étais mal partie. Mais puisque j'ai la chance, depuis septembre, d'avoir obtenu le financement de mon master 2 par le FONGECIF, j’ai décidé d'insuffler un peu d'espoir en partageant ici mon expérience et mes conseils.
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La patinoire du 59ème étage de la tour Montparnasse
Ma nièce de 7 ans m'a donné, il y a quelques semaines, l'opportunité de rechausser des patins à glace.
J'ai passé une partie de mon enfance allemande à glisser, avec mon père et mon frère, sur la piste d'une patinoire en plein air, dans les Alpes souabes.
Entourée de sapins, proche de la cascade d'Urach, j'ai des souvenirs magiques des heures passées à évoluer, les joues rougies, sur cette étendue blanche. Le passage de la machine pour refaire la glace était l'occasion de nous régaler d'un bon hot dog fumant que je vomissais généralement au détour d'un des virages en lacet qui me donait la nausée.
Arrivée à Paris, j'ai initié ma petite soeur à cette pratique sur les patinoires de la Main Jaune et de Boulogne.
Et c'est justement à Boulogne que j'ai emmené ma petite Jade, cet hiver. Après quelques prudents tours de piste, j'ai retrouvé une certaine aisance mais pas mon assurance. Mon intrépide Jade, elle, filait sur ses patins et son excitation me faisait retrouver la petite fille que j'ai été.
Hier, j'ai réussi à convaincre mon frère de nous accompagner pour découvrir la patinoire éphémère qui a été installée sur le toit de la tour Montparnasse.