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J'aime - Page 10

  • Ou l'art de tortiller du cul pour ...

    Un vieil ami - de 20 ans - m'a donné à lire un échange de sms entre lui et sa cousine.


    Elle  : "Vous faîtes un très joli couple !"
    Lui : "Oui mais elle me saoule, elle ne sait pas ce qu'elle veut, je la zappe"
    Elle "Il faut parfois se battre pour décrocher le gros lot, non?"
    Lui : "C'est moi le gros lot, pas elle. Y'a pas beaucoup de bons gars."

    Je lui donne entièrement raison. Mes amis sont des hommes formidables.

  • Hilarant

    Blonde ultra sensuelle et sans aucune limite, féline et caliente comme la braise, d'une souplesse qui frise la démesure, à forte poitrine (bonnet D), simplement "sainple et pas priz de taite", prête à te faire la brouette japonaise, la toupie berrichonne ou le gagging mexicain ...

    Je déconne !!! Baiseur des bois, rhabille-toi (ou mets la toi sur l'oreille comme dirait ma grand-mère), ça serait trop simple tout simplement.

    Tu es sérieux et cherches la femme de ta vie pour faire 5 enfants et remplir ton Scénic ? euh non .... plouf plouf ...

    Tu t'emerdes au taf, tu as mis la photo d'Alain Delon sur ta photo de profil et tu aimes écrire à des blondes sur des sites roses moletonnés mais tu écris papa avec 3 P et tu redoutes bobonne à la zonzon ? euh non ... plouf plouf ...

    Bogoss du 93 c'es toi ! Tu es un véritable toyboy : tablette de choc en avant, tatoué, piercing aux tétons et tu as pris ton cul en photo dans la galce de ton living room ? rrrrrrrrrooooooooouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii .... euh non ... plouf plouf ...

    Tu es un beau brun, grand ténébreux, drôle, LIBRE, avec une grosse ... répartie ? Ton QI dépasse celui de 10 hamsters ? Tu sais tenir une conversation palpitante, voir des expos et tout le toutim ?

    Si tu ne sais rien faire, écoute Katerine ça te fera du bien.

    PS 1 : Si je pouvais écrire aux femmes, je lui aurais envoyé un mail de félicitations, à celle-là !

    PS 2 : Bientôt mes dernières aventures palpitantes au sein de la SPH ...

  • Cabaret New Burlesque

    Tournée.jpgDiscret, absent de la presse people, jouant souvent des personnages torturés, en tout cas singuliers, Mathieu Amalric est peut-être l'acteur français que je préfère. Je n'ai vu que très peu des nombreux films dans lesquels il a tournés mais en 2007, j'ai eu la révélation en visionnant "La question humaine",où apparaissait aussi Michael Lonsdale, un autre de mes géants.

    Alors quand au printemps dernier, j'ai aperçu dans le métro l'affiche de son dernier flm, "Tournée", j'ai proposé à la petite lurker italienne une séance au cinéma. J'ai découvert le new burlesque, "spectacle au féminin fondé sur le striptease mais quidésamorce en partie la dimension érotique de la nudité en la transformant en une forme de comédie ou de spectacle décalé et drolatique". Je suis ressortie enchantée de la projection de ce film qui, en magnifiant des femmes pulpeuses, cassait les diktats inaccessibles de la beauté qui voudraient nous faire ressembler à ces mannequins de 15 ans anorexiques au teint d'endive, comme dirait ma copine VéroPapillon. Magnifique, j'ai admiré la sensualité de leurs rondeurs - parfois très larges-, leurs mollets solides, leurs fesses rebondies, le moelleux de leur ventre. Sous le maquillage outrancier, les faux-cils et les lèvres rouge vif pointait une fragilité émouvante, ma préférée de toutes étant Mimi le Meaux (à prononcer Mimi le Miaou pour lui faire plaisir) qui fait onduler ses jolis tatouages comme personne. J'ai pensé que toutes les femmes qui ont fait de la balance le baromètre de leur séduction devraient visionner le film, comme on s'offre une séance de shopping pour se réconcilier avec son image.

    Pourtant la petite lurker italienne n'a pas du tout apprécié la prestation, elle, ni n'a goûté la beauté de ces américaines décomplexées. Moi je n'en ai que plus estimé Mathieu Amalric et je me suis réjouie qu'il décroche le prix de la mise en scène au festival de Cannes. J'ai récemment appris, sans grand étonnement, que des cours d'effeuillage, dans la plus pure tradition burlesque, suscitaient un véritable engouement de la part de femmes qui avaient oublié que nos suposés défauts font de chacune de nous un être unique.

    Aux premiers jours de l'automne, alors que je me promenais avec VéroPapillon (tiens, encore elle), dans le parc de la Cité Internationale, j'ai découvert avec une joie non dissimulée que la troupe du Cabaret New Burlesque se produisait à Paris en fin d'année. J'avais d'abord pensé organiser une sortie entre filles et puis, comme je m'y suis prise un peu tardivement, je l'ai finalement proposée à Boug' et mes deux amis berlinophiles qui ont accepté l'invitation sans vraiment savoir de quoi il retournait.

    Mardi dernier, donc, voilà le club des 5 disséminé dans l'élégant théâtre plein à craquer. En maîtresse de cérémonie, Kitten on the keys présente sa troupe de copines, certaines parées de corsets luxueux, de robes fourreau, de boas aériens et de bas à frous-frous, d'autres quasi-nues. J'ai retrouvé avec plaisir les prestations souvent sensuelles et parfois cocasses qui animaient le film. J'ai beaucoup ri, toutefois moins que mes deux jeunes voisines qui elles, se sont carrément esclaffées lors du strip-tease totalement loufoque, un vrai numéro de maître, du seul homme de la troupe. Perchée au balcon, j'ai passé la soirée à encourager chaque effeuillage, finissant quasi-aphone, tout en guettant anxieusement les mouvements de bras de ma copine Boug' et son compagnon, en contrebas.

    Cabaret.jpg

    A la sortie, tout le monde était enchanté, voire euphorique (je pense à un certain chanceux qui a réussi à se faire photographier avec la copie conforme, en brunette, de Jessica Rabbit). Moi je n'avais qu'une envie : m'en repayer une tranche. Hélas, les séances sont complètes. Revenez vite les filles !

    Le Cabaret New Burlesque se produit à la Cité Internationale jusqu'au 14 janvier, puis au 104 du 21 au 23.

    (Crédit photos : Boug') 

  • L'allumeur de métaux

    Comme une femme coquette, elles se dérobent pudiquement à nos regards et jouent à cache-cache, un coup par ici, un coup par là, pour finalement offrir, baignées de lumière, leurs courbes anguleuses.

    Ainsi donc, le marin a aussi l’âme d’un poète, et ses histoires courtes ont stimulé mon imaginaire. J'y ai aussi reconnu le peu que je sais de lui. 

    Mes préférées ? Ville en attente, la basilique Sainte-Sophie et l’arbre de cuivre.

    Curieux(se) ? C'est ici qu'on éclaire le monde. Et aussi, tiens.

  • Fiso dans le journal

    Merci au journaliste qui m'a contactée, et à Jean-Yves qui, après un mail très sympathique, m'a fait parvenir cet article paru dans la Charente Libre. J'y retourne bientôt !

    Fiso dans la CL.jpg